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Un an après la découverte de Tokyo, me revoilà partie au pays de Soleil Levant. 3 semaines pour flâner, (re)visiter les quartiers, les temples, les musées, faire du shopping...







dimanche 31 juillet 2011

vendredi 29 juillet; avec David pour un safari light pluvieux

Emilie  a la sortie Ghibli. Elle dort encore quand je pars pour Yurakucho à une demi-heure de JR.

J'attends sous un ciel menaçant devant le MUJI où on aurait du louer les vélos. Pas de chance avec le temps: ce sera donc à pied.

On passe à proximité du palais  impérial pour  rejoindre le Parlement.


David me montre ensuite un temple qui se trouve à l'abri d'un building et une scène de no (théatre) sur une entrée de parking.





A défaut de gravir le Fuji, j'ai gravi ces marches comme l'a fait dans la légende un samourai avec sa monture en une minute. Le petit temple est  sympathique comme le petit bassin avec les carpes. Une était morte et une tortue était en train de la manger!





On part ensuite vers la Tokyo tower et le temple qui la jouxte. Au passage, David me montre les quelques vestiges de l'ancien grand sanctuaire qui se trouvait dans ce quartier: un sanctuaire immense à l'image de Nikko.


La Tokyo tower en rouge et blanc.

Le temple et ses statues, mémoires des enfants partis trop tot.




La pluie se  réveille. Nous on choisit de faire une pause au sec, l'occasion pour moi de découvrir un Starbuck, véritable institution ici qui a donné le gout du café aux Japonais.

Après métro pour Asakusa. On prend la direction des quais. En remontant aux abords de la Sumigawa, on peut voir l'oeuvre de Starck, et une vision étrange de la Sky Tree dont la hauteur s'est perdue dans  les nuages.




Témoins de la nature encore forte à Tokyo, ces  crabes qui font la joie de la peche des enfants.



Après avoir trouvé l'embarquement, on continue sur le chemin qui (il n'y a pas si longtemps) était couvert  de tentes bleues et petites cabanes, abris de fortune des SDF... du jour au lendemain disparus. Là les quelques sdf que nous avons croisés semblaient  plier bagages. A savoir qu'au Japon, la mendicité est interdite (juste l'aumone pour les moines) et que les sdf ont pour la majorité de petites activités utiles à la société: recyclage des bouchons,..




Passant devant des terrains de sport (tennis, base-ball), nous arrivons au restaurant familial typique où mangent les habitants du quartier. Une belle et bonne découverte. Un peu épicé le steack (kara sugimasu).



On a raté le panda bus. On a préféré visiter le temple dédié  au chat. Ce temple était laissé à  l'abandon...quand il  y  a été victime d'un buzz...et les nombreux ema témoignent de cette nouvelle popularité. Il y a meme une chanson avec chorégraphie.




 

Le temps devient chaud. On marche là où on peut acheter des stèles funéraires, plutot des temples, tout pour le culte des  ancetres.

Nous  faisons un tour dans  Kappabashi, les kappa sont des entités mi-homme mi-grenouille. (perso, je trouve ça moche)
Dans ce quartier, il y a tout pour faire la cuisine... meme des fouets géants.





On termine par Ameyoko.

David doit partir. Il rejoint la gare d'Ueno. J'espère qu'on se reverra. J'aurais toujours les livres et internet pour suivre ses aventures.

Je fais un tour dans Ameyoko: prenant une brochette melon au passage...petit tour dans les rues commerçantes adjacentes...sans trouver le sac que je voulais.

Vu l'heure, je décide de tenter le musée des arts occidentaux à Ueno.
Architecture Le Corbusier, sculptures de Rodin, oeuvres religieuses, natures mortes, portraits, paysages, abstrait, du médiéval à l'art moderne, des artistes ultra connus aux anonyme,  on trouve de tout dans les peintures présentées.








Ma partie préférée c'était celle des impressionnistes...du Monet!

Puis je fais une pause gouter pour  éviter la foule qui quitte à cette heure de fermeture le parc Ueno où se concentrent plusieurs musées.




Puis sur le chemin du retour, je fais une halte au supermarché.

Le temps de prendre  une douche...et hop rendez-vous à  19h30 à  Ikebukuro.
On va manger  avec des japonais francophiles au sushi bar.
Les chefs préparent devant toi. J'en ai gouté plusieurs: j'ai aimé asago mais pas unagi (anguille).
Emilie en a pris pas mal.





On a ensuite poursuivi la soirée au karaoke. J'ai gouté umeshu , c'est bon. Et on a chanté...surtout les français!




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